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La Grosse Cloche est un monument emblématique de La Grosse Cloche est un monument emblématique de Bordeaux et sans doute le symbole le plus diffusé de la ville, sans hasard : il s'agit du petit château que l'on voit sur le blason de la ville depuis le Moyen Âge ! En effet, construite entre le début et la moitié du 13e siècle, il s'agit d'une porte monumentale d'entrée de la ville, percée dans le 2e rempart alors tout juste construit. C'est également un beffroi et une barbacane à l'époque car elle réunit 6 tours ! Elle mène alors à l'hôtel de ville situé devant sa façade actuelle à gauche où se réunissent les jurats, à l'église Saint-Eloi où ces derniers se rendent pour prêter serment, et à la place du marché central (place Fernand Laffargue) en passant par la rue Saint-James, dont le nom vient des jacquets entrant à Bordeaux. Si les 4 tours en avant et les 5 autres portes du rempart ont disparu (porte Bouquière par exemple), après quelques reconstructions, la Grosse Cloche se tient fièrement jusqu'à nos jours en bord du cours des Fossés devenu le cours Victor Hugo. En stéréo, nous l'avons sous toutes les coutures et notamment prise depuis la rue du Mirail et pouvons suivre ainsi l'évolution des commerces et moyens de transport. D'ailleurs, depuis que ce montage a été réalisé, nous avons rentré d'autres vues stéréoscopiques du monument dans nos collections !
Re-Vue #11 Le principe de la série Re-Vue : prend Re-Vue #11 Le principe de la série Re-Vue : prendre en photo le même point de vue, le plus exactement si possible, d’une photographie stéréo ! 📸 Cette série est en particulier tournée vers vous, puisque vous pouvez vous emparer des fonds sur la Stéréothèque et re-prendre une même photo. Puis, nous l’envoyer ou faire le montage vous-même si vous le souhaitez ! Le but est de faire vivre nos fonds et de comparer l’évolution des lieux 😉 Aujourd'hui, on vous emmène à Reyniès dans le département du Tarn-et-Garonne pour une Revue en plusieurs parties à partir de la collection Caillol. En mars 1930, d'importantes inondations touchent le Sud-Ouest de la France et particulièrement les villes en bordure du Tarn, du Lot et de la Garonne. C'est l'inondation du siècle pour de nombreux observateurs. Plusieurs facteurs permettent d'expliquer cette catastrophe : fonte des neiges très abondantes pendant l'hiver, forte pluviométrie hivernale, et importantes précipitations concentrées sur quelques jours (plus de 400 mm de pluie entre le 1er et le 3 mars 19300). En quelques minutes de nombreuses villes et villages sont totalement submergés et certaines villes comme Moissac par exemple sont détruites à 80% laissant de très nombreuses familles sans domicile. Les pertes humaines sont considérables, elles s’élèveraient à environ 230 personnes mortes noyées ou encore écrasées par l'effondrement de leurs maisons. Les dommages économiques liés à cet épisode de crue sont nombreux et c'est la première fois que l'Etat prend à sa charge l'indemnisation des sinistrés. La photographie est prise dans une rue du village de Reyniès et montre les désastres occasionnés par la crue. Reyniès est en effet fortement touché par la catastrophe puisqu'on déplore 20 morts et la totalité des maisons du village détruites (150 maisons). Seule l'église que l'on aperçoit à l'arrière plan de l'image a résisté à la violence de la crue. Les vues suivantes sont prises quelques mois après puis... quelques décennies. #revue #avantapres #tbt #throwback #reynies #tarnetgaronne #occitanie #inondations #inondationstarn #clempatrimoine
Re-Vue #10 Le principe de la série Re-Vue : pren Re-Vue #10 Le principe de la série Re-Vue : prendre en photo le même point de vue, le plus exactement si possible, d’une photographie stéréo ! 📸 Cette série est en particulier tournée vers vous, puisque vous pouvez vous emparer des fonds sur la Stéréothèque et re-prendre une même photo. Puis, nous l’envoyer ou faire le montage vous-même si vous le souhaitez ! Le but est de faire vivre nos fonds et de comparer l’évolution des lieux 😉 En ce week-end des Journées européennes du patrimoine, le sujet s'y prêtait idéalement. Nous sommes ici à Amsterdam, autour de 1900 et en 2016. En une centaine d'années, les bateaux et la rive ont un peu changé, et ce sont surtout les voitures que l'on voit apparaître ! C'est le New Mark que nous apercevons au loin, sur cette vue éditée par Ernest le Deley. Collection Wiedemann
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