Septième et dernier épisode : du Mont-Saint-Michel à Combourg
Cliquer sur les vues stéréoscopiques afin de les afficher sur la Stéréothèque avec leur notice et parfois leur anaglyphe (rouge et bleu)
Résumé des épisodes précédents :
Gustave Flaubert, âgé de vingt-six ans et son ami Maxime du Camp ont entrepris en 1847 un long périple à travers l’Anjou, la Touraine et la Bretagne, avec sacs au dos et souliers ferrés. À l’occasion, ils ne dédaignent pas néanmoins le « confort » des transports publics…
Ils font d’abord halte dans les Pays de la Loire et s’y font ouvrir les châteaux de Chambord, d’Amboise et de Chenonceau. Puis ils font étape, aux environs de Nantes, sur les terres de la Bretagne historique à Clisson, avec sa forteresse médiévale. Ils nous conduisent ensuite à Carnac, Belle-Île-en Mer, Quimper, Pont-l’Abbé, Crozon, Daoulas, Brest, Landernau et Saint-Malo.
Selon la convention qu’ils ont passée entre eux, Maxime du Camp se charge d’écrire les chapitres pairs, et Flaubert les chapitres impairs. Leur sixième et dernier chapitre a commencé à Saint-Malo que nous avons intégré dans la sixième étape ; elle se poursuit dans ce chapitre, écrit par Maxime du Camp.
Nous illustrerons cette séquence essentiellement de photos issues de la collection Magendie pour les plus anciennes, prises par François Bidet, un photographe local ; cette série est complétée de vues des collections Besson, Dumail et Société Archéologique de Bordeaux. Nous aurons aussi recours aux vues de la collection de Jean-Pierre Lassère et de celle de Vergnieux, bien plus récentes, mais indispensables pour pallier l’absence de photos du XIXe dans un certain nombre de cas.
La route entre Pontorson et le Mont-Saint-Michel :
« La route de Pontorson au mont Saint-Michel est tirante [difficile] à cause des sables. Notre chaise de poste (car nous allons aussi en chaise de poste) était dérangée à tous moments par quantité de charrettes remplies d’une terre grise que l’on prend dans ces parages et que l’on exporte je ne sais où pour servir d’engrais. »
Normalement, la chaise de poste était aux XVIIe et XVIIIe siècles un véhicule hippomobile de capacité restreinte, d’une ou deux places. Mais, au XIXe siècle, une certaine confusion s’est introduite dans les désignations usuelles : ainsi, la chaise de poste semble être devenue une malle-poste de petite capacité, n’assurant peut-être pas un service régulier, une sorte de taxi mobilisable à la demande.
Les charrettes de « terre grise » que nos auteurs ont observées transportent ce que les bretons appelaient le goémon, en fait un mélange d’algues et d’excréments d’oiseaux, utilisé partout en France au XIXe siècle comme engrais pour les cultures.
« Elles augmentent à mesure qu’on approche de la mer et défilent ainsi pendant plusieurs lieues, jusqu’à ce que l’on découvre enfin les grèves abandonnées d’où elles viennent. Sur cette étendue blanche où les tas de terre élevés en cônes ressemblaient à des cabanes, tous ces chariots dont la longue file remuante fuyait dans la perspective nous rappelaient quelque émigration des barbares qui se met en branle et quitte ses plaines. »
En s’approchant du mont Saint-Michel :
« En face, devant vous, un grand rocher de forme ronde, la base garnie de murailles crénelées, le sommet couronné d’une église se dresse, enfonçant ses tours dans le sable et levant ses clochetons dans l’air. D’énormes contreforts qui retiennent les flancs de l’édifice s’appuient sur une pente abrupte d’où déroulent des quartiers de rocs et des bouquets de verdure sauvage. À mi-côte, étagées comme elles peuvent, quelques maisons, dépassant la ceinture blanche de la muraille et dominées par la masse brune de l’église clapotent leurs couleurs vives entre ceux deux grandes teintes unies. »
« Çà et là, des courants d’eau passaient ; il fallait remonter plus loin. Ou bien c’étaient des places de vase qui se présentaient à l’improviste encadrant dans le sable leurs méandres inégaux. »
On comprend que du Camp et Flaubert sont descendus de leur chaise de poste et se dirigent désormais à pied vers le mont, directement sur la grève de sable et de vase. À cette époque en effet, l’accès à la Merveille n’est pas encore aménagé, et il faut cheminer en profitant du gué de marée basse.
« À nos côtés cheminaient deux curés qui venaient aussi voir le mont Saint-Michel. Comme ils avaient peur de salir leurs robes neuves, ils les relevaient autour d’eux pour enjamber les ruisseaux et sautaient en s’appuyant sur leurs bâtons. Leurs boucles d’argent étaient grises de la boue que le soleil y séchait à mesure, et leurs souliers trempés bâillaient en flaquant à tous leurs pas.
Le mont cependant grandissait. D’un même coup d’œil nous saisissions l’ensemble et nous voyions, à les pouvoir compter, les tuiles des toits, les tas d’orties dans les rochers et, tout en haut, les lames vertes d’une petite fenêtre qui donne sur le jardin du gouverneur. »
Arrivée au mont Saint-Michel :
« La première porte étroite et faite en ogive s’ouvre sur une sorte de chaussée de galets descendant à la mer ; sur l’écu rongé de la seconde, des lignes onduleuses taillées dans la pierre, semblent figurer des flots ;… »
« … par terre, des deux côtés, sont étendus des canons énormes faits de barres de fer reliées avec des cercles pareils. L’un d’eux a gardé dans sa gueule son boulet de granit : pris sur les Anglais, en 1423, par Louis d’Estouteville, depuis quatre siècles ils sont là. »
La montée à travers le « village » :
« Cinq ou six maisons se regardant en face composent toute la rue ; leur alignement s’arrête et elles continuent par les raidillons et les escaliers qui mènent au château, se succédant au hasard, juchées, jetées l’une par-dessus l’autre. »
« Pour y aller [au château], on monte d’abord sur la courtine dont la muraille cache aux logis d’en bas la vue de la mer. La terre paraît sous les dalles fendues ; l’herbe verdoie entre les créneaux, et dans les effondrements du sol s’étalent des flaques d’urine qui rongent les pierres. Le rempart contourne l’île et s’élève par des paliers successifs. Quand on a dépassé l’échauguette qui fait angle entre les deux tours, un petit escalier droit se présente ; de marche en marche, en grimpant, s’abaissent graduellement les toits des maisons dont les cheminées délabrées fument à cent pieds sous vous. Vous voyez à la lucarne des greniers le linge suspendu sécher au bout d’une perche avec des haillons rouges recousus, ou se cuire au soleil, entre le toit d’une maison et le rez-de-chaussée d’une autre, quelque petit jardin grand comme une table où les poreaux [les poireaux] languissant de soif couchent leurs feuilles sur la terre grise ; mais l’autre face du rocher, celle qui regarde la pleine mer, est une, déserte, si escarpée que les arbustes qui y ont poussé ont du mal à s’y tenir et, tout penchés sur l’abîme, semblent prêts à y tomber. »
Le châtelet du mont :
« Entre deux fines tourelles représentant deux pièces de canon sur leur culasse, la porte d’entrée du château s’ouvre par une voûte longue où un escalier de granit s’engouffre. Le milieu en reste toujours dans l’ombre, éclairé qu’il est à peine par deux demi-jours, l’un arrivant d’en bas, l’autre tombant d’en haut par l’intervalle de la herse ; c’est comme un souterrain qui descendrait vers vous. »
« Le corps de garde est, en entrant, au haut du grand escalier. Le bruit des crosses de fusil retentissait sous les voûtes avec la voix des sergents qui faisaient l’appel. On battait du tambour. »
Cette évocation peut paraître surprenante. Il faut savoir que, dès la fin de l’Ancien Régime, l’abbaye fut transformée en bastille provinciale. En 1811, elle devint prison pour les condamnés de droit commun et quelques condamnés politiques. L’abbaye demeurera une maison d’arrêt jusqu’en 1874, date à laquelle elle fut confiée au Service des Monuments historiques. Au moment de la visite de nos auteurs, il s’agit donc toujours d’une prison ; mais les pouvoirs publics acceptaient déjà, semble-t-il, les visites de touristes avertis.
« Un garde-chiourme nous a rapporté nos passeports que M. le gouverneur avait désiré voir ; il nous a fait signe de le suivre, il a ouvert des portes, poussé des verrous, nous a conduit à travers un labyrinthe de couloirs, de voûtes, d’escaliers. On s’y perd ; une seule visite ne suffisant pas pour comprendre le plan compliqué de toutes ces constructions réunies où, forteresse, église, abbaye, prisons, cachots, tout se trouve, depuis le roman du XIe siècle, jusqu’au gothique flamboyant du XVIe. »
Les vestiges de l’abbaye :
« Nous ne pûmes voir que par un carreau, et en nous haussant sur la pointe des pieds, la salle des chevaliers qui, servant maintenant d’atelier de tissage, est par ce motif interdite aux gens. Nous y distinguâmes seulement quatre rangs de colonnes à chapiteaux ornés de trèfles et supportant une voûte sur laquelle filent des nervures saillantes. »
« À deux cents pieds au-dessus du niveau de la mer, le cloître est bâti sur cette salle des chevaliers. Il se compose d’une galerie quadrangulaire formée d’une triple rangée de colonnettes en granit, en tuf, en marbre granitelle ou en stuc fait avec des coquillages broyés. L’acanthe, le chardon, le lierre et le chêne s’enroulent à leurs chapiteaux ; entre chaque ogive en bonnet d’évêque [on dit aujourd’hui en arc brisé] une rosace en trèfle se découpe dans la lumière ; on en fait le préau des prisonniers. »
Notons que le souvenir de l’écrivain est erroné : les colonnettes du cloître, positionnées en quinconce, ne forment qu’une double rangée.
L’église abbatiale :
« L’église a un chœur gothique et une nef romane, les deux architectures étant là comme pour lutter de grandeur et d’élégance. Dans le chœur, l’ogive des fenêtres est haute, pointue, élancée comme une aspiration d’amour ; dans la nef, les arcades l’une sur l’autre ouvrent rondement leurs demi-cercles superposés, et sur la muraille montent des colonnettes qui grimpent droites comme des troncs de palmiers. Elles appuient leurs pieds sur des piliers carrés, couronnent leurs chapiteaux de feuilles d’acanthe, et continuent au-delà par de puissantes nervures qui se courbent sous la voûte, s’y croisent et la soutiennent. »
« La nef séparée du chœur par un grand rideau de toile verte est garnie de tables et de bancs, car on l’a utilisée en réfectoire.
Quand on dit la messe, on tire le rideau, et les condamnés assistent à l’office divin sans déranger leurs coudes de la place où ils mangent. Cela est ingénieux. »
« Pour agrandir de douze mètres la plate-forme qui se trouve au couchant de l’église, on a tout bonnement raccourci l’église : mais, comme il fallait reconstruire une entrée quelconque, un architecte a imaginé de fermer la nef par une façade en style grec ; puis, éprouvant peut-être des remords ou voulant, ce qui est plus croyable, raffiner son œuvre, il a rajouté après coup des colonnes à chapiteaux « assez bien imités du XIe siècle », dit la notice. […] Chacun des arts a sa lèpre particulière… »
« Le lendemain, quand la grève se fut découverte encore, nous partîmes du mont Saint-Michel par un ardent soleil qui chauffait les cuirs de la voiture et faisait suer les chevaux. Nous avancions au pas ; les colliers craquaient, les roues enfonçaient dans le sable. Au bout de la grève, quand le gazon a paru, j’ai appliqué mon œil à la petite lucarne qui est au fond des voitures et j’ai dit adieu au mont Saint-Michel. »
Combourg :
La commune est située au sud-est du mont Saint-Michel, presque à mi-chemin en direction de Rennes. Même s’ils ne nous le disent pas, on comprend que nos voyageurs ont l’intention de repartir vers Paris à partir de Rennes.
« Une lettre du vicomte de Vesin devait nous ouvrir l’entrée du château. Aussi à peine arrivés nous allâmes chez M. Corvesier qui en est le régisseur. […]
Evidemment, nous dérangions. Au bout de quelques minutes, on descendit nous dire que M. Corvesier, malade et grelottant de la fièvre dans son lit, était bien désolé de ne pouvoir nous rendre ce service […]. Cependant, son commis, qui venait de rentrer de course et faisait la collation dans la cuisine en buvant un verre de cidre et en mangeant une tartine de beurre, s’offrit à sa place à nous monter le château. »
Rappelons que le château de Combourg fut celui de la famille de François-René de Chateaubriand qui y passa douze années de sa jeunesse, de 1777 à 1789. Mais, dès 1786, le père étant décédé, c’est le frère aîné des Chateaubriand qui en hérite et qui en néglige l’entretien. Après son pillage et un incendie partiel en 1793, le château est restitué à la famille en 1796. À la date de la visite de nos auteurs, la demeure est donc toujours propriété de la famille, celle des descendants de la branche aînée des Chateaubriand.
Et c’est bien dans les souvenirs du célèbre homme de lettres préromantique que nos voyageurs espèrent se plonger ici. Mais ce qu’ils découvrent est un château toujours en grande partie à l’abandon ; cette description édifiante eut semble-t-il un assez grand retentissement à Paris : pensez donc, le lieu où le grand Chateaubriand passa son enfance, et dont il parle tant dans son œuvre, était en grande décrépitude !
« Quatre grosses tours, rejointes par des courtines, laissent voir sous leur toit pointu les trous de leurs créneaux qui ressemblent aux sabords d’un navire, et les meurtrières dans les tours, ainsi que sur le corps du château de petites fenêtres irrégulièrement percées, font des baies noires inégales sur la couleur grise des pierres. Un large perron d’une trentaine de marches monte tout droit au premier étage, devenu le rez-de-chaussée des appartements de l’intérieur depuis qu’on en a comblé les douves. »
« Quand la clé eut tourné dans la serrure et que la porte, poussée à coups de pieds, eut grincé sur le pavé collant, nous entrâmes dans un couloir sombre qu’encombraient des planches et des échelles avec des cercles de futailles et des brouettes.
Ce passage vous mène à une petite cour comprise entre les pans intérieurs du château et resserrée par l’épaisseur des murs. Le jour n’arrive que d’en haut, comme dans un préau de prison. Dans les angles, des gouttes humides coulaient le long des pierres.
Une autre porte fut ouverte. C’était une vaste salle dégarnie, sonore ; le dallage est brisé en mille endroits ; on a repeint le vieux lambris.
Par les grandes fenêtres, la teinte verte des bois d’en face jetait un reflet livide sur la muraille blanchie. Tout à leur pied le lac [en fait une mare au pied du château !] est répandu, étalé sur l’herbe parmi les joncs ; sous les fenêtres, les troènes, les acacias et les lilas, poussés pêle-mêle dans l’ancien parterre, couvrent de leur taillis sauvage le talus qui descend jusqu’à la grande route ; elle passe sur la berge du lac et continue ensuite par la forêt. »
« Rien ne résonnait dans la salle déserte où jadis, à cette heure, s’asseyait sur le bord de ces fenêtres l’enfant qui fit René. […] Nous avons monté les escaliers tournants. Le pied trébuche, on tâtonne des mains. Sur les marches usées, la mousse est venue. Souvent un rayon lumineux, passant par la fente des murs et frappant dessus d’aplomb, en fait briller quelque petit brin vert qui, de loin, dans l’ombre, scintille comme une étoile.
Nous avons erré partout : dans les longs couloirs, sur les tours, sur la courtine étroite dont les trous des mâchicoulis béants, tirent l’œil en bas vers l’abîme. »
« Donnant sur la cour intérieure, au second étage, est une petite pièce basse dont la porte de chêne, ornée de ramures moulées, s’ouvre par un loquet de fer. Les poutrelles du plafond, que l’on touche avec la main, sont vermoulues de vieillesse ; les lattes paraissent sous le plâtre de la muraille qui a de grandes taches sales ; les carreaux de la fenêtre sont obscurcis par la toile des araignées et leurs châssis encroûtés dans la poussière. C’était là sa chambre. Elle a vue vers l’ouest, du côté du soleil couchant.
Nous continuâmes ; nous allions toujours… […] Dans les chambres, les parquets pourris s’effondrent, le jour descend par les cheminées, le long de la plaque noircie où les pluies ont fait de longues traînées vertes. Le plafond du salon laisse tomber ses fleurs d’or et l’écusson qui en surmonte le chambranle est cassé en morceaux. Comme nous étions là, une volée d’oiseaux est entrée tout à coup, a tourbillonné avec des cris et s’est enfuie par le trou de la cheminée. »
« Le soir, nous avons été sur le bord du lac, de l’autre côté de la prairie. […] La nuit tombait. Le château, flanqué de ses quatre tourelles, encadré dans sa verdure et dominant le village qu’il écrase, étendait sa grande masse sombre. Le soleil couchant, qui passait devant sans l’atteindre, le faisait paraître noir, et ses rayons, effleurant la surface du lac, allaient se perdre dans la brume, sur la cime violette des bois immobiles. »
« Assis sur l’herbe, au pied d’un chêne, nous lisions René. Nous étions devant ce lac où il contemplait l’hirondelle agile sur le roseau mobile, à l’ombre de ces bois où il poursuivait l’arc-en-ciel sur les collines pluvieuses ; nous écoutions ce frémissement de feuilles, ce bruit de l’eau sous la brise, qui avaient mêlé leur murmure à la mélodie éplorée des ennuis de jeunesse. À mesure que l’ombre tombait sur les pages du livre, l’amertume des phrases gagnait nos cœurs et nous fondions avec délices dans je ne sais quoi de large, de mélancolique et de doux. »
Une fois rentrés à leur hôtel, du Camp et Flaubert se perdent dans leurs rêveries, mettant en scène l’enfant Chateaubriand :
« Sa chambre ! sa chambre ! sa pauvre petite chambre d’enfant ! C’est là que tourbillonnaient, l’appelaient des fantômes confus qui tourmentaient ses heures en lui demandant à naître : Atala secouant au vent des Florides les magnolias de sa chevelure ; Velléda, au clair de lune, courant sur la bruyère ; Cymodocée, et la blanche Amélie, et le pâle René ! »
* * *
« Nous nous en allâmes fort tristes de Combourg ; et puis la fin de notre voyage approchait. Bientôt allait finir cette fantaisie vagabonde que nous menions depuis trois mois avec tant de douceur. Le retour aussi, comme le départ, a ses tristesses anticipées qui vous envoient par avance la fade exhalaison de la vie qu’on traîne… »
Ici s’achève le récit de ce Voyage en Bretagne de Gustave Flaubert et Maxime du Camp, et, pour nous, la relation illustrée que nous en avons faite par épisodes, entamée depuis une année et demie…
Christian Bernadat
* * *
Bibliographie :
Par les champs et par les grèves (voyage en Bretagne) par Gustave Flaubert [En ligne].
La Bretagne en relief, premiers voyages photographiques en Bretagne, Musée départemental Breton de Quimper, 2000.
« L’Univers – collection des vues les plus pittoresques du globe » de Jules Janin – édition ~1840.
Château de Combourg, Wikipédia